31 octobre 2013 - 00:00
1,2 M$ pour prévenir la moisissure dans les écoles
Par: Le Courrier
Pour empêcher le développement de moisissures, des travaux d'entretien préventif seront effectués dans neuf écoles de la CSSH au coût de 1,2 M$. Dans l'ordre habituel : Émilien Pelletier, député de Saint-Hyacinthe, Richard Flibotte, président de la CSSH, Caroline Dupré, directrice générale de la CSSH et Jean-François Soumis, directeur des ressources matérielles de la CSSH.

Pour empêcher le développement de moisissures, des travaux d'entretien préventif seront effectués dans neuf écoles de la CSSH au coût de 1,2 M$. Dans l'ordre habituel : Émilien Pelletier, député de Saint-Hyacinthe, Richard Flibotte, président de la CSSH, Caroline Dupré, directrice générale de la CSSH et Jean-François Soumis, directeur des ressources matérielles de la CSSH.

Pour empêcher le développement de moisissures, des travaux d'entretien préventif seront effectués dans neuf écoles de la CSSH au coût de 1,2 M$. Dans l'ordre habituel : Émilien Pelletier, député de Saint-Hyacinthe, Richard Flibotte, président de la CSSH, Caroline Dupré, directrice générale de la CSSH et Jean-François Soumis, directeur des ressources matérielles de la CSSH.

Pour empêcher le développement de moisissures, des travaux d'entretien préventif seront effectués dans neuf écoles de la CSSH au coût de 1,2 M$. Dans l'ordre habituel : Émilien Pelletier, député de Saint-Hyacinthe, Richard Flibotte, président de la CSSH, Caroline Dupré, directrice générale de la CSSH et Jean-François Soumis, directeur des ressources matérielles de la CSSH.

Neuf établissements scolaires de Saint-Hyacinthe et des municipalités avoisinantes seront rénovés au coût de 1,2 M$ afin de prévenir la dégradation de la qualité de l'air et l'apparition de moisissure.

Le montant octroyé à la CSSH par la ministre de l’Éducation, Marie Malavoy, découle d’un investissement de 58 M$ en Montérégie visant à éliminer les problèmes de moisissure dont ont souffert certaines écoles sur le territoire.

À Saint-Hyacinthe, toutefois, les travaux seront de nature préventive et viseront principalement la réfection des portes, des fenêtres et des toitures ainsi que l’entretien sur la structure des bâtiments. « Nos enfants méritent d’effectuer leurs apprentissages dans des milieux sains. […] Le travail amorcé en maintien des bâtiments doit se poursuivre afin que nous puissions conserver cette richesse collective datant des années 1960 », a indiqué le député de Saint-Hyacinthe Émilien Pelletier. Malgré les relations tendues entre Québec et les commissions scolaires depuis le dossier de la taxation scolaire, le président de la CSSH, Richard Flibotte, n’a pu qu’approuver les dires de M. Pelletier. « Nous espérons que ces améliorations donneront le goût aux jeunes de poursuivre leurs études », a-t-il renchéri. Puisque tous les projets sont indépendants, les appels d’offres seront lancés entre les mois de décembre et février et les travaux devraient débuter au printemps 2014.

Problèmes plus urgents

Interrogé par LE COURRIER au sujet des problèmes d’infrastructures plus urgents qui affectent la CSSH, le député de Saint-Hyacinthe a affirmé être « sensible aux besoins de la Commission scolaire », mais que cela ne se comparait pas aux travaux de réfection annoncés puisque les fonds provenaient d’enveloppes budgétaires distinctes.

Dans le cas de l’ajout d’un gymnase et de locaux adjacents à l’école secondaire Fadette, la CSSH doit en appeler au budget loisirs et sports, lequel devrait être bonifié cette année et pour les cinq années à venir. « Je travaille fort pour que ce projet se concrétise et j’espère que la 4 e fois sera la bonne », a indiqué le député, en faisait référence aux trois refus de subventions ministérielles essuyés par la CSSH depuis 2004. Concernant l’utilisation de locaux modulaires [roulottes] au Centre de formation des Maskoutains (CFM) afin d’enrayer la pénurie de classes qui menaçait les écoles Maurice-Jodoin et Roméo-Forbes à la rentrée 2012, Émilien Pelletien a soutenu qu’il s’agissait d’un milieu éducatif sain.Il a même défendu l’utilisation des roulottes en alléguant que les employés du centre hospitalier de Saint-Hyacinthe, durant les travaux à l’hôpital Honoré-Mercier, étaient très satisfaits de travailler dans ces locaux modulaires. Le directeur des ressources matérielles de la CSSH, Jean-François Soumis, est alors intervenu pour rappeler qu’il s’agissait d’une mesure temporaire. En raison de la croissance démographique à travers la province, les demandes financières auprès du gouvernement pour obtenir de nouveaux locaux ne cessent d’augmenter, occasionnant des délais importants.

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