24 août 2017 - 00:00
Roman sur fond religieux
À la grâce de Dieu lancé au Parvis
Par: Olivier Dénommée
Monique Laguë ne connaît que peu Saint-Hyacinthe, mais ne pouvait pas demander un meilleur lieu que Le Parvis pour lancer À la grâce de Dieu. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Monique Laguë ne connaît que peu Saint-Hyacinthe, mais ne pouvait pas demander un meilleur lieu que Le Parvis pour lancer À la grâce de Dieu. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Monique Laguë ne connaît que peu Saint-Hyacinthe, mais ne pouvait pas demander un meilleur lieu que Le Parvis pour lancer À la grâce de Dieu. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Monique Laguë ne connaît que peu Saint-Hyacinthe, mais ne pouvait pas demander un meilleur lieu que Le Parvis pour lancer À la grâce de Dieu. Photo François Larivière | Le Courrier ©

La vie de Monique Lamontagne Laguë n’est pas la plus commune, elle qui a vu son premier mariage terminé par une déclaration de nullité avant de tomber amoureuse d’un prêtre qui est enfin devenu son mari. La résidente d’Otterburn Park fait ses débuts comme auteure avec le lancement de son premier roman, À la grâce de Dieu, paru le 15 juillet en librairie et lancé le 8 juillet au restaurant Le Parvis de Saint-Hyacinthe.


C’est en 2014 que Monique Laguë s’est intéressée à l’écriture d’un roman qui est devenu la trilogie À la grâce de Dieu, une histoire qui l’a tellement inspirée qu’elle a complété sa trilogie en l’espace d’un an et demi.
Si le premier tome vient d’apparaître sur les tablettes, il faudra patienter un peu avant de pouvoir lire la suite, même si l’auteure admet qu’elle a bien hâte de la présenter à ses lecteurs.
Amour et respect
L’histoire de À la grâce de Dieu présente la quête de Marie-Noëlle, qui cherche à connaître ses parents biologiques, et le tourment de Béatrice 20 ans plus tôt, qui devait choisir entre amour humain et amour de Dieu. « Le message que j’envoie dans mon livre, c’est que l’amour est plus fort que tout. L’amour entre religieux était un sujet tabou à l’époque (l’histoire se passe à Montréal dans les années 60) et les personnages passent à travers ce défi », explique l’auteure, qui précise que son propre vécu a légèrement teinté son écriture.
Malgré l’arrière-plan de la religion, l’histoire peut aussi plaire à un public qui n’a pas la foi, car « c’est un fond d’histoire d’amour et de respect ». Pour Mme Laguë, l’expression « à la grâce de Dieu » peut aussi être utilisée dans un contexte profane.
Sans vouloir en dire trop, Monique Lamontagne Laguë explique que les deux prochains tomes élargiront l’histoire qui a été développée dans le premier. Le prochain sera d’ailleurs intitulé À la grâce de Dieu, tome 2 : Au fil du temps.
Choix naturel
Quant au choix du Parvis, qui a accueilli une soixantaine de convives le 8 juillet, il s’est imposé de lui-même. « Je venais de commencer à écrire l’histoire lorsque nous avons mangé au Parvis. C’est à ce moment que j’ai décidé que ce serait là que je ferais mon lancement », se souvient l’auteure, qui annonce déjà que les lancements des tomes 2 et 3 y auront aussi lieu.
À la grâce de Dieu, publié par Essor livres, est disponible sur commande dans la plupart des librairies.

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