C’est l’histoire d’un diachylon placé sur une plaie béante en pleine hémorragie, ou d’une réparation de surface qui cache un mal plus profond. Les employés de la Ville de Saint-Hyacinthe ont vaillamment tenté de refaire une beauté à la section de l’avenue de Dieppe, située entre Garnier et Frontenac. Le résultat est passable, comme la rue. À quand le courage politique d’imposer une réfection complète de cette portion de rue?
6 juin 2019 - 14:24
Le pissenlit
À un diachylon