14 juin 2018 - 00:00
Convention des artisans de la musique
Artisans de la musique : rendez-vous en 2020
Par: Olivier Dénommée
Samuel Robert tenait à faire sa première Convention au Centre de congrès de Saint-Hyacinthe, et espère y revenir dans quelques années, « en raison de son emplacement stratégique en sol québécois ».

Samuel Robert tenait à faire sa première Convention au Centre de congrès de Saint-Hyacinthe, et espère y revenir dans quelques années, « en raison de son emplacement stratégique en sol québécois ».

Samuel Robert tenait à faire sa première Convention au Centre de congrès de Saint-Hyacinthe, et espère y revenir dans quelques années, « en raison de son emplacement stratégique en sol québécois ».

Samuel Robert tenait à faire sa première Convention au Centre de congrès de Saint-Hyacinthe, et espère y revenir dans quelques années, « en raison de son emplacement stratégique en sol québécois ».

Après la première Convention des artisans de la musique (CAM) au Centre de congrès de Saint-Hyacinthe les 26 et 27 mai, l’heure est au bilan pour le fondateur de l’initiative, Samuel Robert.


L’objectif de visiteurs était trop ambitieux pour une première édition, puisqu’environ 600 entrées payantes seulement ont été enregistrées pour les deux journées. Toutefois, Samuel Robert insiste sur le fait que la plupart des visiteurs se sont présentés en début de journée, signe de leur désir de rencontrer les artistes et entreprises. Pour attirer davantage de gens, l’organisateur compte investir pour « de la publicité à grande échelle ». Dans l’ensemble, il s’est avoué très satisfait de la formule et de la réponse de ceux qui y ont participé. « Je suis heureux que l’évènement ait été présenté dans la forme souhaitée : la disposition des kiosques, la discographie des artisans et les diffusions sur écrans étaient impeccables. » Il prend note de tout commentaire qui permettra d’améliorer la formule pour la prochaine édition, qu’il est bien résolu d’organiser.

Samuel Robert met la CAM sur la glace pour 2019, mais il espère l’organiser annuellement dès 2020 si des subventions le lui permettent. L’emplacement pourrait aussi changer pour attirer un public et des artistes différents. Les régions de Montréal et de Québec ont été évoquées, mais il n’exclut pas de revenir en sol maskoutain dans les années suivantes.

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