« Pour les Maskoutains, le 7 avril 1992 restera gravé comme l’une des dates les plus tristes de l’histoire de leur municipalité », était-il écrit dans Le Clairon de Saint-Hyacinthe au lendemain de la tragédie.
« Consternation, désolation, tristesse, chagrin, voilà autant de sentiments que l’on pouvait lire sur le visage des badauds », rapportait un autre texte.
Même le quotidien La Presse y consacrait une grande place dans son édition du 8 avril. « L’événement a créé une véritable commotion dans toute la population accourue pour assister à cette agonie. »
LE COURRIER avait aussi publié un cahier spécial de 12 pages le 15 avril avec plusieurs photos percutantes et les témoignages d’anciens élèves, de professeurs et d’intervenants.