« Si c’était à recommencer, je le referais. Je ne regrette rien », réplique l’ex-maire de Saint-Théodore-d’Acton.
L’incident, survenu en août 2011, a selon M. Larivière changé sa vie positivement.« Je voulais attirer l’attention des policiers sur le harcelèment que je vivais. C’était le seul moyen qui me restait et ça a marché », a-t-il confié.L’entrepreneur affirme qu’il est prêt à subir les conséquences de ses actes. À la suite des recommandations sur la peine qui auront lieu en janvier, il pourrait recevoir tout au moins une amende, la sentence maximale étaint six mois de prison.« Comme je ne suis pas un récidiviste, j’imagine que je m’en sortirai bien dans les circonstances. J’ai tourné la page sur cet épisode et ma qualité de vie s’est de beaucoup améliorée depuis cette histoire. Et j’ai à coeur le bonheur de mes enfants. C’est ce qui compte avant tout », conclut-il.