30 juillet 2015 - 00:00
Centre aquatique Desjardins
Défectuosité persistante du hammam
Par: Jean-Luc Lorry
Agrément apprécié par la clientèle, le hammam du Centre aquatique Desjardins demeure problématique depuis son installation en 2012. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Agrément apprécié par la clientèle, le hammam du Centre aquatique Desjardins demeure problématique depuis son installation en 2012. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Agrément apprécié par la clientèle, le hammam du Centre aquatique Desjardins demeure problématique depuis son installation en 2012. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Agrément apprécié par la clientèle, le hammam du Centre aquatique Desjardins demeure problématique depuis son installation en 2012. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Très populaire auprès de la clientèle, le hammam du centre aquatique Desjardins représente depuis son installation une épine dans le pied de la municipalité qui est propriétaire de l'édifice.

En janvier 2012, la Ville avait accordé à la firme Sauna Concept de Château-Richer, le mandat d’installer et de fournir deux saunas, l’un sec et l’autre humide.

Quelques mois après son installation, une fissure dans un joint de la céramique du hammam avait provoqué une infiltration d’eau due à la présence constante de vapeur d’eau.

Le propriétaire de Sauna Concept avait alors réagi dans nos colonnes en pointant du doigt l’entrepreneur général Pomerleau qui n’aurait « pas exécuté les travaux avec les bons produits ».

« Concernant le sauna humide, j’ai été consultant et j’ai émis des recommandations à la firme d’architectes qui en avait pris note. (…) Donc, s’il y a eu erreur et mauvais montage je n’en suis pas responsable », avait précisé Steve Grant, président de Sauna Concept, dans une lettre adressée au COURRIER.

L’écoulement d’eau au hammam fait partie de la liste des problématiques du centre aquatique qui ne sont toujours pas réglées.

« Ce problème d’infiltration d’eau pourrait entraîner des travaux correctifs entre 25 000 $ et 40 000 $ », estime Yvan De Lachevrotière, directeur du Service des travaux public à la Ville.

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