4 juin 2015 - 00:00
Des lettres non livrées retrouvées dans un bac de recyclage
Par: Maxime Prévost Durand
Un citoyen a trouvé ce paquet de lettres dans son bac de recyclage. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Un citoyen a trouvé ce paquet de lettres dans son bac de recyclage. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Un citoyen a trouvé ce paquet de lettres dans son bac de recyclage. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Un citoyen a trouvé ce paquet de lettres dans son bac de recyclage. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Un paquet de 13 lettres non livrées, accompagné de quelques dépliants publicitaires, a été retrouvé dans un bac de recyclage, le 27 mai. La vigilance d'un honnête citoyen a permis à ces lettres d'être retournées à Postes Canada.

C’est avec grand étonnement que Michel Boisvert a trouvé ce paquet de courrier encore scellé dans son bac de recyclage, près de sa résidence du quartier Saint-Sacrement, à Saint-Hyacinthe. Puisque le bac était plein (la cueillette se faisait le lendemain), le paquet était placé bien en évidence au-dessus de la pile de matières recyclables.

On y trouvait des envois de la Régie des rentes du Québec, du Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska, du gouvernement du Canada et des factures de câblodistributeur notamment, ainsi qu’une lettre adressée à la Ville de Saint-Hyacinthe.

Lorsque M. Boisvert s’est présenté aux bureaux de Postes Canada, sur la rue Girouard Ouest, pour leur faire part de la situation, le paquet de lettres à la main, les employés se sont montrés à leur tour étonnés d’une telle trouvaille.

La superviseure Mélodie Tremblay, a repris le paquet et a assuré qu’un suivi serait fait. Elle semblait écarter la possibilité qu’un facteur malhonnête y ait déposé délibérément les lettres, dont plusieurs avaient la mention « déménagé » inscrite à la main.

Mme Tremblay croit plutôt que le paquet aurait pu glisser de la poche du facteur et qu’un passant l’aurait ensuite mis dans le bac de recyclage. Grâce aux adresses inscrites sur les lettres, il leur sera facile de retracer le facteur qui devait les livrer, a-t-elle ajouté.

Hier matin, elle a répondu au représentant du COURRIER que le dossier était maintenant « entre les mains de mes supérieurs. Ce sont eux qui vous joindront au besoin ».

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