12 mai 2016 - 00:00
en bref
Par: Benoit Lapierre

Casavant : mandat à Gabrielli

L’ancien directeur du Service du génie, Pierre Gabrielli, va poursuivre sa collaboration avec la Ville de Saint-Hyacinthe durant quelque temps encore. Le conseil municipal lui a confié un mandat spécial dans le cadre du projet d’étagement ferroviaire dans l’axe du boulevard Casavant Ouest. À raison de 90 $ l’heure jusqu’à concurrence de 20 000 $, il se penchera sur les questions touchant l’aménagement des voies de circulation de part et d’autre du tunnel qui sera construit sous les voies ferrées du CN. Le directeur général, Louis Bilodeau, a expliqué que l’ingénieur Gabrielli connaissait très bien le dossier et qu’il était la ressource toute désignée pour bien conseiller la Ville face à ­certains choix, notamment en raison de la présence dans le secteur d’un milieu humide et d’un cours d’eau, le ruisseau Plein Champ. M. Gabrielli se penchera aussi sur la question d’une nouvelle voie d’accès au Cégep de Saint-Hyacinthe. M. Gabrielli, qui devait prendre sa retraite le 30 juin 2014 après 24 années de ­service, a accepté quelques mandats par la suite. Il a même assuré l’intérim à son propre poste de novembre 2015 à avril 2016, à la suite du départ d’Alain Marcoux, qui n’aura occupé le poste de directeur du Génie que durant 18 mois. Ce service est maintenant dirigé par Charles Laliberté, ingénieur en génie civil, entré en fonction le 29 mars.

Peinture fraîche pour la piste

Après avoir rejeté toutes les soumissions au terme d’un premier appel d’offres sur invitation, la Ville de Saint-Hyacinthe a obtenu un meilleur résultat à son deuxième essai et a pu octroyer à la firme montréalaise Tapitec un contrat de peinture de 62 510 $ pour la nouvelle piste d’athlétisme du C��gep de Saint-Hyacinthe. Au premier appel d’offres, la plus basse soumission conforme (83 800 $) dépassait l’estimation maximale pour ce ­projet (71 046 $). La piste encercle le nouveau terrain de soccer/football, une réalisation conjointe du Cégep et de la Ville, laquelle a agi comme maître d’oeuvre.

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