19 avril 2012 - 00:00
Don d'organes et de tissus
En mode sensibilisation
Par: Le Courrier
Le maire Claude Bernier en compagnie de Daniel Dubois, chef du service de Sécurité incendie, Charles Saint-Pierre et Richard Tremblay, membre du conseil d'administration de Transplant Québec.

Le maire Claude Bernier en compagnie de Daniel Dubois, chef du service de Sécurité incendie, Charles Saint-Pierre et Richard Tremblay, membre du conseil d'administration de Transplant Québec.

Le maire Claude Bernier en compagnie de Daniel Dubois, chef du service de Sécurité incendie, Charles Saint-Pierre et Richard Tremblay, membre du conseil d'administration de Transplant Québec.

Le maire Claude Bernier en compagnie de Daniel Dubois, chef du service de Sécurité incendie, Charles Saint-Pierre et Richard Tremblay, membre du conseil d'administration de Transplant Québec.

Encore trop peu de dons d'organes sont effectués chaque année au Québec. Seulement 137 donneurs décédés au Québec ont contribué à la transplantion à 396 personnes en attente d'un don. Ils sont 1 260 patients a attendre une transplantation.

Malgré des efforts soutenus au cours des cinq dernières années pour sensibiliser la population à cette réalité, les résultats se font attendre, selon Richard Tremblay, membre du conseil d’administration de Transplant Québec. « Il y a encore beaucoup trop de personnes en attente d’un don. Il faut continuer de sensibiliser la population et inciter le plus de gens possible à discuter du don d’organes avec leur famille », estime-t-il.

Afin d’y arriver, la Ville de Saint-Hyacinthe, tout comme une quarantaine de villes au Québec, a démontré son appui à Transplant Québec en hissant un drapeau arborant le ruban vert à l’effigie du don d’organes et de tissus dans le cadre de la Semaine nationale du don d’organes et de tissus, du 22 au 29 avril. « Nous espérons que ce drapeau mis en évidence incitera les Maskoutains à parler du don d’organes à leurs proches et à signifier leur consentement », a dit souhaiter le maire Claude Bernier. Il invite d’ailleurs la population de Saint-Hyacinthe à faire comme lui, c’est-à-dire signer sa carte d’assurance maladie pour montrer son consentement. « Il faut également en parler à sa famille pour recevoir leur accord, d’où l’importance d’établir cette discussion pendant qu’on est en santé », soutient M. Bernier.

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