Les idées qu’il lance sur ce sujet sont regroupées sous le volet « environnement », le troisième chantier qu’il a ouvert dans le cadre de sa campagne électorale. Il entend les faire progresser vers des mesures concrètes une fois aux commandes du prochain conseil municipal.

Le train de banlieue, avec ses effets bénéfiques sur la qualité de l’air comme sur l’économie locale, fait évidemment partie de sa vision. Il enrichira un jour le décor maskoutain, prédit-il, mais sans préciser quand. Il rappelle toutefois qu’une subvention de 125 000 $ a été accordée pour une étude de faisabilité, la première de toutes les étapes à suivre. « Combien ça va coûter? À l’Agence métropolitaine de transport, on nous répond que tout dépend de ce que nous voulons. Y aura-t-il une ou deux gares, la gare actuelle est-elle conforme? (…) Chose certaine, quand 200, 300 personnes prennent le train quotidiennement au lieu de leur voiture pour aller travailler ou étudier, ça change la donne du côté des gaz à effet de serre », signale-t-il.M. Vachon assure aussi que sous sa gouverne, la Ville, de concert avec la Régie intermunicipale, mènera à bien le projet d’aménagement d’un nouvel écocentre en bordure de la rue Lemire, lequel remplacera l’écocentre actuel de la rue Brouillette, devenu désuet.Il a enfin rappelé que le Plan d’action environnemental de la Ville de Saint-Hyacinthe arrivera à échéance en 2014 et qu’il doit donc être repensé.

B.L.