25 septembre 2014 - 00:00
François Brouillard prend les rênes de la Société d’agriculture
Par: Jean-Luc Lorry
Le nouveau directeur général de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, François Brouillard. Photo Patrick Deslandes

Le nouveau directeur général de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, François Brouillard. Photo Patrick Deslandes

Le nouveau directeur général de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, François Brouillard. Photo Patrick Deslandes

Le nouveau directeur général de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, François Brouillard. Photo Patrick Deslandes

Après plus de 23 années chez Agropur à titre de conseiller coopératif puis de coordonnateur, François Brouillard succède à Richard Robert comme directeur général de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe et de l’Expo.

M. Robert assurera la transition à la direction de la Société d’agriculture jusqu’en décembre. Il quittera son poste pour prendre sa retraite après 41 ans de bons et loyaux services.

« Cette nomination représente un changement dans ma carrière. C’est un beau défi de reprendre les rênes de la Société d’agriculture », considère François Brouillard, en entrevue au COURRIER.

Celui-ci sera à la tête d’une équipe de dix personnes qui augmente à plus d’une centaine d’employés lors de l’Expo.

François Brouillard n’arrive pas en terrain inconnu puisqu’il siège depuis deux ans sur le conseil d’administration de la Société d’agriculture. Ce résident de Sorel-Tracy est également président de la Société d’agriculture de Richelieu.

Suprême laitier

Dans ses nouvelles fonctions, M. Brouillard sera vite mis à l’épreuve en participant à l’organisation de la première édition du Suprême laitier qui aura lieu du 5 au 8 novembre.

Cette exposition regroupera sur le site de l’Expo environ 800 bovins laitiers de cinq races différentes. En plus de producteurs et d’éleveurs laitiers, des fabricants et des concessionnaires d’équipements seront sur place durant les quatre jours.

Disposant aujourd’hui d’un complexe d’expositions qui compte quatre pavillons, le nouveau directeur général ne croit pas que le nombre limité de chambres d’hôtels à Saint-Hyacinthe soit problématique.

« Dans les grands centres urbains canadien et américain, le monde accepte d’être logé à 30 ou 40 minutes du lieu de congrès », note M. Brouillard. Toutefois, celui-ci concède qu’une formule « tout-en-un » comme offrait le défunt Hôtel des Seigneurs a des avantages pour la clientèle.

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