17 janvier 2013 - 00:00
La Bienfaisante permet d’amasser 2 500 $ pour l’APAJ
Par: Le Courrier
Au printemps dernier, la microbrasserie Le Bilboquet s’associait à la cause de l’analphabétisme en brassant une toute nouvelle bière appelée « La Bienfaisante ». François Grisé, propriétaire de l’entreprise, a remis les profits qui se chiffrent jusqu’à maintenant à 2 500 $. Cette somme permettra à l’organisme Aide Pédagogique aux Adultes et aux Jeunes, APAJ, de poursuivre sa mission. Le conseil d’administration tient à remercier François et Benoît Grisé, copropriétaires, qui ont bien voulu soute

Au printemps dernier, la microbrasserie Le Bilboquet s’associait à la cause de l’analphabétisme en brassant une toute nouvelle bière appelée « La Bienfaisante ». François Grisé, propriétaire de l’entreprise, a remis les profits qui se chiffrent jusqu’à maintenant à 2 500 $. Cette somme permettra à l’organisme Aide Pédagogique aux Adultes et aux Jeunes, APAJ, de poursuivre sa mission. Le conseil d’administration tient à remercier François et Benoît Grisé, copropriétaires, qui ont bien voulu soute

Au printemps dernier, la microbrasserie Le Bilboquet s’associait à la cause de l’analphabétisme en brassant une toute nouvelle bière appelée « La Bienfaisante ». François Grisé, propriétaire de l’entreprise, a remis les profits qui se chiffrent jusqu’à maintenant à 2 500 $. Cette somme permettra à l’organisme Aide Pédagogique aux Adultes et aux Jeunes, APAJ, de poursuivre sa mission. Le conseil d’administration tient à remercier François et Benoît Grisé, copropriétaires, qui ont bien voulu soute

Au printemps dernier, la microbrasserie Le Bilboquet s’associait à la cause de l’analphabétisme en brassant une toute nouvelle bière appelée « La Bienfaisante ». François Grisé, propriétaire de l’entreprise, a remis les profits qui se chiffrent jusqu’à maintenant à 2 500 $. Cette somme permettra à l’organisme Aide Pédagogique aux Adultes et aux Jeunes, APAJ, de poursuivre sa mission. Le conseil d’administration tient à remercier François et Benoît Grisé, copropriétaires, qui ont bien voulu soute


image