Oui, mais! Il a fallu des millénaires pour en arriver à la fin du XIXe siècle à l’étape préindustrielle permettant au fil des années d’ouvrir des horizons nouveaux. Et depuis, les progrès ont littéralement « déboulés » pour aboutir à une évolution rapide qui débouche sur la suppression du temps et de l’espace.

Les bénéfices tirés de cette évolution technologique sont multiples et touchent tous les secteurs de l’activité humaine, ouvrant même la porte à un monde nouveau. Mais comme le souligne régulièrement un de mes bons amis, il n’y a pas de médaille assez mince pour ne pas avoir deux côtés! En effet, des nouvelles perspectives s’ouvrent, mais en contrepartie, des effets néfastes sont relevés dans plusieurs secteurs de la vie au quotidien. La récente utilisation douteuse des données recueillies sur Facebook illustre bien les limites de cette possibilité de se confier à cœur ouvert à un fournisseur de services.

L’utilisation d’algorithmes complexes permet d’aller au-delà des données brutes pour établir des profils offerts à ceux qui offrent le plus, pour une utilisation sans contrôle.

L’autre phénomène qui se développe rapidement, c’est le commerce en ligne. C’est, dit-on, la voie de l’avenir et incontournable. Au grand dam de toute l’activité commerciale traditionnelle avec pignon sur rue.

Et dans tous les cas, sans acquitter, jusqu’à présent, les taxes liées aux ventes enregistrées sur un territoire. Tout le monde s’en tire gagnant?

Rien de moins sûr, car toute la vie sociale et économique qui a été développée au cours des dernières décennies est liée à la fiscalité. Qui paiera?