Très attendue par les conseils des maires des deux MRC et par la Régie, cette confirmation de conformité du PCGMR révisé aux exigences de la Loi, aux orientations de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles et du Plan d’action 2011-2015, s’inscrit dans le processus de révision de celui-ci. Afin de poursuivre le processus légal qui arrive maintenant à terme, les MRC d’Acton et des Maskoutains procéderont, au cours du mois d’octobre, à l’adoption d’un règlement édictant le Plan de gestion révisé, lequel entrera en vigueur 120 jours après la date de sa transmission au ministre.
« C’est avec beaucoup de plaisir et de satisfaction que les élus et les gestionnaires des MRC d’Acton et des Maskoutains ainsi que de la Régie ont pris connaissance des bons mots du ministre qui a tenu à souligner l’excellente qualité du projet de PCGMR révisé soumis et le caractère proactif de la Régie qui a mené un sondage exhaustif auprès des générateurs ICI et CRD, préalablement à la révision du PCGMR. D’ailleurs, le ministre n’a pas hésité à qualifier ce processus de digne de mention », a déclaré Guy Bond, président de la Régie intermunicipale d’Acton et des Maskoutains.Réjean Pion, directeur général de la Régie, a quant à lui tenu à rappeler l’excellente collaboration du personnel de la Régie qui s’est mobilisé autour de Jade Guilbert, chargée de projet responsable de ce dossier. « Nous avons pu compter sur le soutien constant de l’équipe de la Régie ainsi que des nombreux gestionnaires municipaux des municipalités visées, sur la collaboration des membres du comité de suivi qui ont contribué activement au processus de révision du PCGMR ainsi que sur le support de Pierre Bornais qui a, comme il l’avait fait en 2003, procédé à la révision linguistique du projet de PCGMR révisé. Dans le même ordre d’idées, il est important de souligner l’apport des nombreux gestionnaires d’industries, de commerces et d’institution ainsi que des collecteurs, transporteurs, recycleurs et plus généralement, de tous les intervenants qui contribuent à une saine gestion des matières résiduelles sur notre territoire. »Au cours des prochaines années, en orchestrant ses interventions dans le respect des diverses mesures prévues au PCGMR révisé des MRC d’Acton et des Maskoutains, la Régie pourra contribuer à innover et à travailler de concert avec tous les intervenants du milieu afin de réduire la quantité de produits qui sont inévitablement dirigés vers les lieux d’élimination.Comme l’a par ailleurs mentionné le ministre Heurtel, dans la lettre qu’il a transmise à la Régie : « Les effets seront bénéfiques sur notre environnement ainsi que sur notre développement social et économique. Nous permettrons ultimement à nos enfants de vivre dans une société prospère, responsable et sans gaspillage ».
Réjean Pion, directeur général de la Régie, a quant à lui tenu à rappeler l’excellente collaboration du personnel de la Régie qui s’est mobilisé autour de Jade Guilbert, chargée de projet responsable de ce dossier. « Nous avons pu compter sur le soutien constant de l’équipe de la Régie ainsi que des nombreux gestionnaires municipaux des municipalités visées, sur la collaboration des membres du comité de suivi qui ont contribué activement au processus de révision du PCGMR ainsi que sur le support de Pierre Bornais qui a, comme il l’avait fait en 2003, procédé à la révision linguistique du projet de PCGMR révisé. Dans le même ordre d’idées, il est important de souligner l’apport des nombreux gestionnaires d’industries, de commerces et d’institution ainsi que des collecteurs, transporteurs, recycleurs et plus généralement, de tous les intervenants qui contribuent à une saine gestion des matières résiduelles sur notre territoire. »
Au cours des prochaines années, en orchestrant ses interventions dans le respect des diverses mesures prévues au PCGMR révisé des MRC d’Acton et des Maskoutains, la Régie pourra contribuer à innover et à travailler de concert avec tous les intervenants du milieu afin de réduire la quantité de produits qui sont inévitablement dirigés vers les lieux d’élimination.
Comme l’a par ailleurs mentionné le ministre Heurtel, dans la lettre qu’il a transmise à la Régie : « Les effets seront bénéfiques sur notre environnement ainsi que sur notre développement social et économique. Nous permettrons ultimement à nos enfants de vivre dans une société prospère, responsable et sans gaspillage ».