À travers ce projet, l’artiste en arts médiatiques avance l’idée que les peluches sont, au même titre que les humains, munis de cinq sens et que ceux-ci ressentent des émotions tout au long de leur existence. Partant de ce précepte, il estime que l’on doit remercier les toutous en raison de leur importance au sein de nos vies. C’est ce concept surréaliste qu’il tente de cultiver chez l’imaginaire des enfants.
L’exposition, dont l’accès est gratuit, est constituée d’une projection audiovisuelle et d’une installation sculpturale. Un vernissage se tiendra le 10 août à 18 h 30, puis il sera possible de visiter l’exposition du 10 août à partir de 13 h jusqu’au 12 août à 17 h.
Ce projet de Merlin Campbell, détenteur d’un certificat en arts plastique de l’UQAM et étudiant au baccalauréat en arts visuels à l’Université Concordia, s’inscrit dans une démarche de médiation culturelle en collaboration avec l’école Bois-Joli-Sacré-Coeur et l’organisme M.A.L.I. (Mouvement Action Loisirs inc.). Avec cette initiative, l’artiste souhaite contribuer à abattre les préjugés existants envers le gens vivant avec une déficience intellectuelle. Cette création artistique est rendue possible grâce au soutien financier du Conseil de la culture de Saint-Hyacinthe.