21 janvier 2016 - 00:00
Biométhanisation
Liberté confie ses résidus de yogourt à la Ville
Par: Le Courrier
Nicolas Vigneulle, directeur de l’usine Liberté, et Claude Corbeil, maire de Saint-Hyacinthe, ont signé l’entente en présence de Louis Bilodeau, directeur général de la Ville, Mathieu Deslauriers, directeur technique de l’usine Liberté de Saint-Hyacinthe, Maria Martinez, coordonnatrice du développement durable chez Liberté, et Pierre Mathieu, conseiller technique en traitement de l’eau de la Ville.

Nicolas Vigneulle, directeur de l’usine Liberté, et Claude Corbeil, maire de Saint-Hyacinthe, ont signé l’entente en présence de Louis Bilodeau, directeur général de la Ville, Mathieu Deslauriers, directeur technique de l’usine Liberté de Saint-Hyacinthe, Maria Martinez, coordonnatrice du développement durable chez Liberté, et Pierre Mathieu, conseiller technique en traitement de l’eau de la Ville.

Nicolas Vigneulle, directeur de l’usine Liberté, et Claude Corbeil, maire de Saint-Hyacinthe, ont signé l’entente en présence de Louis Bilodeau, directeur général de la Ville, Mathieu Deslauriers, directeur technique de l’usine Liberté de Saint-Hyacinthe, Maria Martinez, coordonnatrice du développement durable chez Liberté, et Pierre Mathieu, conseiller technique en traitement de l’eau de la Ville.

Nicolas Vigneulle, directeur de l’usine Liberté, et Claude Corbeil, maire de Saint-Hyacinthe, ont signé l’entente en présence de Louis Bilodeau, directeur général de la Ville, Mathieu Deslauriers, directeur technique de l’usine Liberté de Saint-Hyacinthe, Maria Martinez, coordonnatrice du développement durable chez Liberté, et Pierre Mathieu, conseiller technique en traitement de l’eau de la Ville.

Dans sa quête de matières premières pour exploiter à fond son système de biométhanisation, la Ville de Saint-Hyacinthe vient de conclure un accord avec la firme Liberté, qui fabrique du yogourt dans le parc industriel Olivier-Chalifoux.

En vertu de cette entente d’un an débutant le 11 janvier 2016, Liberté s’engage à approvisionner la Ville de 6500 tonnes de résidus de yogourt provenant de son usine du 6825, boulevard Choquette.

Il s’agit de la troisième entreprise à signer un accord de ce genre avec la Ville. En 2014, elle s’était entendue pour un an avec les firmes Sanimax et Services environnementaux Richelieu, qui devaient lui confier chacune 6000 tonnes de résidus organiques.

Lorsqu’elle aura complété, au coût de 26 millions $, la phase III du projet de biométhanisation, la Ville prévoit être en mesure de traiter par biométhanisation 140 000 tonnes d’intrants organiques par année, dont 86 700 tonnes provenant de l’industrie agroalimentaire, afin de ­produire, entre autres, quelque 13 millions de mètres cubes de gaz naturel renouvelable. La phase III comprend, entre autres choses, la construction de la station de compression et de purification du ­biométhane afin de lui conférer les mêmes propriétés que le gaz naturel distribué par Gaz Métro.

Les éléments manquants du complexe de biométhanisation de la rue Girouard Est sont en cours de construction. Ils sont ­réalisés par Filtrum Construction, cette ­entreprise qui a obtenu de la Ville un contrat de 26 203 492 $ en août 2015.

Par ailleurs, en marge du projet de biométhanisation lui-même, la Ville de Saint-Hyacinthe vient d’obtenir une reconnaissance de la Fédération canadienne des municipalités (FCM) en tant que ville qui se démarque par ses pratiques environnementales. Elle figure sur la liste des villes gagnantes des Prix des collectivités durables 2016, lesquelles seront honorées par la FCM lors d’une cérémonie qui aura lieu à Ottawa au début de février.

B.L.

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