27 avril 2017 - 00:00
Premier roman du Maskoutain Éric Nicolas
L’impossible histoire de Louis Charland
Par: Olivier Dénommée
C’est aussi à Éric Nicolas que l’on doit Les Voltigeurs canadiens, Héros oubliés de la guerre de 1812, paru en 2013. Il s’est intéressé à ce projet alors que ses recherches sur Louis Charland frappaient un mur.  Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

C’est aussi à Éric Nicolas que l’on doit Les Voltigeurs canadiens, Héros oubliés de la guerre de 1812, paru en 2013. Il s’est intéressé à ce projet alors que ses recherches sur Louis Charland frappaient un mur. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

C’est aussi à Éric Nicolas que l’on doit Les Voltigeurs canadiens, Héros oubliés de la guerre de 1812, paru en 2013. Il s’est intéressé à ce projet alors que ses recherches sur Louis Charland frappaient un mur.  Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

C’est aussi à Éric Nicolas que l’on doit Les Voltigeurs canadiens, Héros oubliés de la guerre de 1812, paru en 2013. Il s’est intéressé à ce projet alors que ses recherches sur Louis Charland frappaient un mur. Photo Robert Gosselin | Le Courrier ©

Vous n’êtes probablement pas familier avec le nom de Louis Charland, principalement connu comme architecte à qui l’on doit certains bâtiments du Vieux-Montréal, dont celui qui abrite aujourd’hui la Société historique de Montréal. 


Officiellement décédé en 1813 à l’âge de 42 ans, tout porte à croire qu’il était pourtant bien en vie lorsqu’il a participé à la bataille de Waterloo deux ans plus tard. Le Maskoutain Éric Nicolas, docteur à la retraite, s’est intéressé à ce personnage mystérieux dans son premier roman historique, Le secret perdu des jésuites, Tome 1 : Charland et les guerres américaines.

Bien entendu, le livre, premier tome d’une trilogie, demeure une fiction, mais il se base sur des recherches réelles qui lèvent le voile sur l’histoire tout sauf banale du mystérieux Charland. Dr Nicolas n’a rien d’un historien, mais l’histoire était « une passion de jeunesse », assez pour entamer ses recherches dès 2002 sur Louis Charland, ne les menant à terme qu’une douzaine d’années plus tard. À travers ses 600 pages, le roman lie le personnage à un mystérieux crâne d’argent appartenant aux jésuites. Pour la suite, il faudra patienter, comme Éric Nicolas souhaite prendre son temps pour poursuivre sa trilogie. Pour le moment, le romancier est très occupé avec la promotion du roman, notamment à Montréal où il a attiré l’attention pour le caractère historique d’un personnage oublié par le temps.

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