17 juillet 2014 - 00:00
Louis-Jean Cormier dans le bull’s eye de l’Expo!
Par: Le Courrier
Après être passé par la scène du Zaricot et celle de la salle RONA du Centre des arts Juliette-Lassonde, c'est l'Expo-Bar qui accueillera le chanteur le jeudi 24 juillet à compter de 21 h.

Après être passé par la scène du Zaricot et celle de la salle RONA du Centre des arts Juliette-Lassonde, c'est l'Expo-Bar qui accueillera le chanteur le jeudi 24 juillet à compter de 21 h.

Après être passé par la scène du Zaricot et celle de la salle RONA du Centre des arts Juliette-Lassonde, c'est l'Expo-Bar qui accueillera le chanteur le jeudi 24 juillet à compter de 21 h.

Après être passé par la scène du Zaricot et celle de la salle RONA du Centre des arts Juliette-Lassonde, c'est l'Expo-Bar qui accueillera le chanteur le jeudi 24 juillet à compter de 21 h.

Louis-Jean Cormier en sera déjà à son quatrième passage à Saint-Hyacinthe, depuis qu'il a démarré sa carrière solo. Le jeudi 24 juillet, il ouvrira la 177 e édition de l'Expo à compter de 21 h. Spectacle en plein air sur la scène de l'Expo-Bar, il promet une bonne dose de musique, de bonne humeur et d'effervescence avec ses mots, ceux de Gaston Miron et de Félix Leclerc qu'il admire particulièrement.

L’artiste montréalais a le vent dans les voiles depuis que l’épopée La Voix est terminée. L’auteur-compositeur-interprète aux refrains rassembleurs se dit d’ailleurs heureux de la tournure des évènements bien que le projet d’émission lui faisait peur au départ.

« Le bonheur est assez facile d’accès chez nous en ce moment, a raconté le chanteur en entrevue au COURRIER. Je me suis sorti relativement indemne de La Voix parce que c’est quelque chose qui était assez loin de moi. Au final, je suis bien heureux de la façon dont ça se passe. Je n’ai pas fait La Voix pour me faire connaitre, je l’ai fait pour pouvoir exprimer ce que je pense de l’interprétation vocale et de l’idée de se construire une carrière. »« On le prend quand ça passe [le succès] parce que c’est un milieu précaire, on ne sait pas ce qui va se passer dans deux ou trois ans. Est-ce que je vais être le premier has been rapide du Québec et tomber dans l’oubli? On s’en fout, je garde le cap et savoure chaque moment », confie Louis-Jean Cormier.Plus de musique, moins de placotage. C’est ce que promet l’artiste pour sa tournée de festivals. Lui et ses cinq musiciens sillonneront les routes du Québec avec un répertoire diversifié empreint de vieux matériel et même de nouveautés.« En plein air, il faut éviter les grands monologues comme on peut faire en salle. Il faut promouvoir l’idée de rallonger les moments musicaux, un peu Woodstock sur les bords, on s’amuse sur scène, rien de moins. »« Le répertoire va continuer à être inspiré par ce que je suis… Tout le monde connait mon amour pour les mots de Gaston Miron, pour les mots et les mélodies de Félix Leclerc, sans oublier l’épopée Karkwa. Tout ce que j’ai fait auparavant va se retrouver dans le spectacle de festival, mais dans d’autres robes et d’autres habits. Peut-être même y aura-t-il des surprises à Saint-Hyacinthe, je ne sais pas encore », a-t-il lancé.

Projets à venir

Dans ses plans futurs, Louis-Jean Cormier n’écarte pas un possible retour avec Karkwa, mais il indique que certaines choses doivent se placer à l’intérieur du groupe avant d’entamer quelconque projet.

À tout le moins, à court terme, il affirme qu’une vingtaine de chansons sont en production présentement. Tout l’été, il façonnera ses nouvelles compositions dans le but de lancer un deuxième album solo.

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