20 février 2014 - 00:00
Sandrine Paradis commémorée au Restaurant Lussier
Par: Le Courrier
Le souper-bénéfice tenu au Restaurant Lussier, le 24 janvier, afin d'aider la famille de Sandrine Paradis s'est transformé en une soirée hommage pour la jeune Maskoutaine décédée le 19 janvier. D'après Benoît Lussier (au centre), propriétaire du restaurant, la date « était un peu mal placée », car les funérailles de la jeune femme de 23 ans avaient lieu au même moment. « Ce fut très sobre et sensible comme soirée », a indiqué M. Lussier. Malgré les tristes circonstances, la participation des 200

Le souper-bénéfice tenu au Restaurant Lussier, le 24 janvier, afin d'aider la famille de Sandrine Paradis s'est transformé en une soirée hommage pour la jeune Maskoutaine décédée le 19 janvier. D'après Benoît Lussier (au centre), propriétaire du restaurant, la date « était un peu mal placée », car les funérailles de la jeune femme de 23 ans avaient lieu au même moment. « Ce fut très sobre et sensible comme soirée », a indiqué M. Lussier. Malgré les tristes circonstances, la participation des 200

Le souper-bénéfice tenu au Restaurant Lussier, le 24 janvier, afin d'aider la famille de Sandrine Paradis s'est transformé en une soirée hommage pour la jeune Maskoutaine décédée le 19 janvier. D'après Benoît Lussier (au centre), propriétaire du restaurant, la date « était un peu mal placée », car les funérailles de la jeune femme de 23 ans avaient lieu au même moment. « Ce fut très sobre et sensible comme soirée », a indiqué M. Lussier. Malgré les tristes circonstances, la participation des 200

Le souper-bénéfice tenu au Restaurant Lussier, le 24 janvier, afin d'aider la famille de Sandrine Paradis s'est transformé en une soirée hommage pour la jeune Maskoutaine décédée le 19 janvier. D'après Benoît Lussier (au centre), propriétaire du restaurant, la date « était un peu mal placée », car les funérailles de la jeune femme de 23 ans avaient lieu au même moment. « Ce fut très sobre et sensible comme soirée », a indiqué M. Lussier. Malgré les tristes circonstances, la participation des 200


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