28 Décembre 2017 - 00:00
Turtlebrace s’implante à Saint-Hyacinthe
Par: Le Courrier
Le président de Turtlebrace, Serge-Éric Blais, en compagnie de la directrice du développement industriel de Saint-Hyacinthe Technopole, Karine Guilbault. Photo Robert Gosselin

Le président de Turtlebrace, Serge-Éric Blais, en compagnie de la directrice du développement industriel de Saint-Hyacinthe Technopole, Karine Guilbault. Photo Robert Gosselin

Le président de Turtlebrace, Serge-Éric Blais, en compagnie de la directrice du développement industriel de Saint-Hyacinthe Technopole, Karine Guilbault. Photo Robert Gosselin

Le président de Turtlebrace, Serge-Éric Blais, en compagnie de la directrice du développement industriel de Saint-Hyacinthe Technopole, Karine Guilbault. Photo Robert Gosselin

L’entreprise Concepts orthopédiques Turtlebrace, spécialisée dans le développement et la production d’orthèses, a choisi Saint-Hyacinthe pour implanter ses activités de production. Elle vient de débuter ses opérations dans sa nouvelle usine de 5 000 pieds carrés située dans le parc industriel Olivier-Chalifoux. 


Les orthèses produites par Turtlebrace proposent une évolution dans la façon de stabiliser un membre ou une articulation. Composées d’un thermoplastique basse température écologique fusionné à une enveloppe en tissus microfibre, la grande souplesse de ses composantes permet de stabiliser un segment plus facilement et plus précisément qu’une orthèse traditionnelle ou qu’une immobilisation plâtrée.

« Nos produits sont novateurs. Ils facilitent le travail des cliniciens, optimisent le traitement de plusieurs pathologies musculo-squelettiques et améliorent la qualité de vie des porteurs », souligne le président de l’entreprise, Serge-Éric Blais.

Commercialisés sous la marque Turtlebrace, ces produits ont connu un grand succès au Canada depuis le début de leur commercialisation en 2014. Ils sont désormais vendus en France, en Suisse, en Italie, en Espagne, dans les Antilles françaises, au Luxemburg et en Belgique et devraient faire leur entrée dans de nouveaux pays européens et africains prochainement.

L’usine maskoutaine emploie quatre personnes. Une deuxième phase d’investissements est prévue en janvier, pour l’achat de nouveaux équipements, et nécessitera l’ajout de nouveaux emplois.

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