9 mai 2013 - 00:00
Au temps de l'amour
Un jardin romantique dans un écrin de verdure
Par: Jean-Luc Lorry
Les finissants du programme Paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA) sont fiers de présenter leur projet de fin d'études, <em>Au temps de l'amour</em>. Ce jardin romantique est à découvrir au Jardin Daniel A. Séguin.

Les finissants du programme Paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA) sont fiers de présenter leur projet de fin d'études, <em>Au temps de l'amour</em>. Ce jardin romantique est à découvrir au Jardin Daniel A. Séguin.

Les finissants du programme Paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA) sont fiers de présenter leur projet de fin d'études, <em>Au temps de l'amour</em>. Ce jardin romantique est à découvrir au Jardin Daniel A. Séguin.

Les finissants du programme Paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA) sont fiers de présenter leur projet de fin d'études, <em>Au temps de l'amour</em>. Ce jardin romantique est à découvrir au Jardin Daniel A. Séguin.

Une nouvelle création horticole est à découvrir au Jardin Daniel A. Séguin. Le jardin Au temps de l'amour est le fruit de trois années d'études pour les finissants du programme Paysage et commercialisation en horticulture ornementale (PCHO) de l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de Saint-Hyacinthe.

« La mise en place de ce jardin a débuté fin août pour se terminer hier », a indiqué Sébastien Langlois, l’un des 17 étudiants qui complètent cette formation en horticulture.

Plusieurs structures originales composent ce jardin d’inspiration romantique. Un atrium trône au coeur de cet écrin de verdure, un volcan de l’amour crache une légère brume et une cabane des amoureux fait partie du décor. « La construction de l’atrium a représenté un défi technique pour nous », raconte M. Langlois. Un toit massif en bois est soutenu par quatre imposantes colonnes. Pour raffiner le tout, un mur d’eau a été installé au centre de la structure. Les étudiants de première et deuxième année ainsi que leurs professeurs ont été mis à contribution pour réaliser ce projet d’envergure.Chaque année, ce jardin-école voit le jour grâce à la participation financière et au don en matériel de plusieurs entreprises de paysagement. Son diplôme en poche, Sébastien Langlois souhaite maintenant rejoindre l’entreprise de son père qui est spécialisée dans la fertilisation de pelouses.

image