3 juillet 2014 - 00:00
Fermeture des Arpents Verts à la fin de l'été
Un terreau fertile pour le développement résidentiel
Par: Le Courrier
Un secteur résidentiel prendra la place de la pépinière Les Arpents Verts, qui fermera ses portes au terme de la saison estivale.

Un secteur résidentiel prendra la place de la pépinière Les Arpents Verts, qui fermera ses portes au terme de la saison estivale.

Un secteur résidentiel prendra la place de la pépinière Les Arpents Verts, qui fermera ses portes au terme de la saison estivale.

Un secteur résidentiel prendra la place de la pépinière Les Arpents Verts, qui fermera ses portes au terme de la saison estivale.

Le vaste terrain sur lequel est située la pépinière Les Arpents Verts, en bordure de la route 137 dans le quartier Saint-Joseph, a été vendu et sera converti en développement résidentiel par le nouvel acquéreur, Claude Chagnon.

La transaction entre l’entrepreneur maskoutain et le propriétaire de la pépinière, Denis Barré, s’est conclue à la fin mai et vise seulement le terrain de 300 000 pi. ca. où est située l’entreprise.

Le bâtiment abritant la pépinière et l’équipement du centre jardinier demeurent la propriété de M. Barré, dont les activités cesseront en même temps que la période estivale. Les employés ont d’ailleurs déjà été avisés que leurs services ne seraient plus requis l’an prochain. Cette fermeture, après plus de 30 ans d’existence, s’explique par la difficulté à recruter un successeur. « Ça faisait cinq ans que l’entreprise était en vente. Il n’y a pas d’intérêt du côté de la relève », déplore celui qui exploite Les Arpents Verts depuis 25 ans. En septembre, M. Barré procédera à un encan afin de liquider son matériel horticole. Quant au bâtiment, Denis Barré croit qu’il sera sans doute démoli, étant donné les projets de développement résidentiel poursuivis par Claude Chagnon. LE COURRIER n’a pas été en mesure de savoir quel type de propriétés le grand patron des Entreprises Claude Chagnon envisageait de bâtir. Ce dernier n’a pas retourné nos appels. Selon l’agent immobilier Paul Messier, le projet est « sur la planche à dessin. Il n’y a rien de complété, mais de ce que j’en ai vu, ce sera très beau ». Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé. D’après l’évaluation municipale, l’ensemble du lot se chiffre à 592 900 $ et le prix de vente demandé était de 2,6 M$.

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