6 avril 2017 - 00:00
Centre aquatique Desjardins
Un troisième vol depuis décembre
Par: Jean-Luc Lorry
La Ville recommande aux utilisateurs du Centre aquatique Desjardins de ne pas apporter d’objets de valeur et de sécuriser le casier utilisé avec un cadenas.Photothèque | Le Courrier ©

La Ville recommande aux utilisateurs du Centre aquatique Desjardins de ne pas apporter d’objets de valeur et de sécuriser le casier utilisé avec un cadenas.Photothèque | Le Courrier ©

La Ville recommande aux utilisateurs du Centre aquatique Desjardins de ne pas apporter d’objets de valeur et de sécuriser le casier utilisé avec un cadenas.Photothèque | Le Courrier ©

La Ville recommande aux utilisateurs du Centre aquatique Desjardins de ne pas apporter d’objets de valeur et de sécuriser le casier utilisé avec un cadenas.Photothèque | Le Courrier ©

Depuis le mois de décembre, un troisième vol est survenu au Centre aquatique Desjardins. Le dimanche 5 février, une nageuse s’est fait dérober une somme d’argent dans un casier portant un cadenas, a appris LE COURRIER.


Cette Maskoutaine qui a souhaité conserver l’anonymat nous a confié qu’en retournant au vestiaire après la baignade, elle a retrouvé son sac de plage contenant ses vêtements et son portefeuille dans le vestiaire réservé aux personnes handicapées. Celle-ci a constaté qu’une somme d’environ 70 $ avait été volée. 

« Mon cadenas à combinaison avait disparu et la porte de mon casier était ouverte sans mes effets personnels, déplore la dame. Le policier sur place m’a dit qu’il venait ici régulièrement à la suite de plaintes. »

Ce nouvel épisode de vol nous a été confirmé par la Sûreté du Québec (SQ) qui poursuit son enquête sur cette série de vols.

À la Ville, propriétaire du Centre aquatique maskoutain, on considère que ces actes sont des cas isolés.

« Ces douze derniers mois, moins d’une dizaine de plaintes ont été déposées pour vol. Ce nombre est minime considérant le nombre d’usagers qui fréquentent le centre aquatique. On ne parle pas ici d’une vague de vols », considère Brigitte Massé, directrice des communications à la Ville de Saint-Hyacinthe.

Lors de la semaine de relâche, plus de 9 000 baigneurs ont été comptabilisés par la Corporation aquatique maskoutaine (CAM) qui opère cette installation.

En décembre, deux épisodes de vol s’étaient produits en l’espace de deux semaines. Des vêtements auraient été dérobés dans les vestiaires.

« Ces vols sont des événements isolés et ne remontent pas jusqu’au conseil d’administration. C’est malheureux lorsque cela arrive. J’encourage les utilisateurs à être vigilants », indique Maude Lamoureux, présidente du conseil d’administration de la CAM. 

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