24 août 2017 - 00:00
The Steady Swagger au Zaricot
Un whiskeybillie bien vieilli
Par: Olivier Dénommée
Mat « Chewy » Lacombe (contrebasse/voix), Sergio D’isanto (batterie/voix) et Pi Sailin’ Cutler (guitare/voix) ont la réputation de systématiquement transformer un spectacle en fête. Photo Zoomlab

Mat « Chewy » Lacombe (contrebasse/voix), Sergio D’isanto (batterie/voix) et Pi Sailin’ Cutler (guitare/voix) ont la réputation de systématiquement transformer un spectacle en fête. Photo Zoomlab

Mat « Chewy » Lacombe (contrebasse/voix), Sergio D’isanto (batterie/voix) et Pi Sailin’ Cutler (guitare/voix) ont la réputation de systématiquement transformer un spectacle en fête. Photo Zoomlab

Mat « Chewy » Lacombe (contrebasse/voix), Sergio D’isanto (batterie/voix) et Pi Sailin’ Cutler (guitare/voix) ont la réputation de systématiquement transformer un spectacle en fête. Photo Zoomlab

Depuis six ans, le trio The Steady Swagger fait trembler les bars et les petites salles de spectacle où il passe, insufflant une énergie folk marquée par le rock ‘n’ rock, le blues, et surtout le sens de la fête. Il sera de passage au Zaricot le 25 août pour présenter son nouvel album, Vol III.


« Nous sommes en tournée depuis le 15 avril (depuis le lancement du nouvel album) et nous revenons d’une tournée de 50 jours en Europe et d’une petite tournée gaspésienne », explique le chanteur et guitariste Pi Sailin’ Cutler. Plus que jamais, The Steady Swagger maîtrise son énergie « whiskeybillie », un terme qu’il a inventé pour sa musique « folk rock théâtrale et agressivement joyeuse », marque de commerce du groupe montréalais. Le guitariste admet que le groupe a peaufiné sa façon de faire les choses, travaillant davantage les voix et ayant acquis de la maturité dans les textes. Il a aussi fait appel à Gaetan Pilon du Studio Victor 2.0 pour le mixage de l’opus. « Le public a l’air de bien apprécier notre nouvel album, mais il sait qu’en spectacle, il y a le contact physique en plus », soutient Pi Sailin’ Cutler.
Prix d’ami
Malgré un succès grandissant outremer et un peu partout au Québec, The Steady Swagger tient à garder le prix de ses billets bas au Zaricot. « On vient généralement à Saint-Hyacinthe une ou deux fois par année et on met un prix moins élevé parce qu’on veut qu’il reste de l’argent pour éventuellement acheter un peu de marchandise ou de l’alcool! », lance le musicien. Il se souvient de nombreuses soirées très arrosées à Saint-Hyacinthe, et espère que celle du vendredi 25 août, où les nouvelles chansons de Vol III seront enfin présentées, ne fera pas exception.

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