11 octobre 2012 - 00:00
Prix de reconnaissance Essor
Casavant et Saint-Maurice s’illustrent en Montérégie
Par: Maxime Prévost Durand
De gauche à droite : Stéphanie Blouin-Bérard, Guy Picard, Patricia Gendron et Émilie Gosselin, professeurs à l'école Casavant ayant piloté le projet <em>Moi, ma ville...</em>, avec Sylvain Fugère, directeur de l'école; Brigitte Boisjoli, porte-parole de <em>La culture à l'école</em>; Laurence Saint-Denis, représentante du ministère de la Culture et des Communications; Hélène Leblanc, directrice des services pédagogiques du Collège Saint-Maurice; Véronique Robert, représentante du ministère de l'

De gauche à droite : Stéphanie Blouin-Bérard, Guy Picard, Patricia Gendron et Émilie Gosselin, professeurs à l'école Casavant ayant piloté le projet <em>Moi, ma ville...</em>, avec Sylvain Fugère, directeur de l'école; Brigitte Boisjoli, porte-parole de <em>La culture à l'école</em>; Laurence Saint-Denis, représentante du ministère de la Culture et des Communications; Hélène Leblanc, directrice des services pédagogiques du Collège Saint-Maurice; Véronique Robert, représentante du ministère de l'

De gauche à droite : Stéphanie Blouin-Bérard, Guy Picard, Patricia Gendron et Émilie Gosselin, professeurs à l'école Casavant ayant piloté le projet <em>Moi, ma ville...</em>, avec Sylvain Fugère, directeur de l'école; Brigitte Boisjoli, porte-parole de <em>La culture à l'école</em>; Laurence Saint-Denis, représentante du ministère de la Culture et des Communications; Hélène Leblanc, directrice des services pédagogiques du Collège Saint-Maurice; Véronique Robert, représentante du ministère de l'

De gauche à droite : Stéphanie Blouin-Bérard, Guy Picard, Patricia Gendron et Émilie Gosselin, professeurs à l'école Casavant ayant piloté le projet <em>Moi, ma ville...</em>, avec Sylvain Fugère, directeur de l'école; Brigitte Boisjoli, porte-parole de <em>La culture à l'école</em>; Laurence Saint-Denis, représentante du ministère de la Culture et des Communications; Hélène Leblanc, directrice des services pédagogiques du Collège Saint-Maurice; Véronique Robert, représentante du ministère de l'

Les écoles de Saint-Hyacinthe ont tout raflé lors de la cérémonie de remise des prix de reconnaissance Essor le 25 septembre à l'école Casavant. Celle-ci a remporté, pour une troisième année consécutive, l'un des deux prix remis en Montérégie, tandis que le Collège Saint-Maurice mettait la main sur l'autre prix.

Le prix de reconnaissance Essor récompense le travail des responsables scolaires et des élèves qui ont réalisé des projets novateurs et imaginatifs en lien avec les ressources culturelles du milieu. En remportant ce prix dans la région, le Collège Saint-Maurice et l’école Casavant se voient ainsi remettre une bourse de 2 000 $, en plus de devenir finalistes pour la remise de prix nationaux.

Année après année, l’école Casavant soumet son projet et, plus souvent qu’autrement, il se distingue des autres en Montérégie. « On se distingue par l’interdisciplinarité de nos projets », explique le directeur Sylvain Fugère. Ils combinent effectivement la musique, les arts plastiques et les arts dramatiques.Cette année, plusieurs initiatives leur ont permis de triompher avec le projet Moi, ma ville…. Les élèves avaient tout d’abord concocté diverses oeuvres en papier mâché pour une exposition au Stade L.-P. Gaucher durant le Festi-Mahg en février. Des joueurs de hockey, des rondelles et des oeuvres représentant chacunes des équipes étaient notamment exposés.Sur le plan scénique, une pièce de théâtre retraçant les origines du nom de l’école, Casavant, avait été présentée après un travail de recherche à ce sujet. Une autre, intitulée Au coeur du marché, mettait en valeur ce lieu culte de Saint-Hyacinthe.L’autre récipiendaire, le Collège Saint-Maurice, en était quant à lui à son premier projet soumis auprès du comité pour le prix Essor. Il a présenté le projet Anne Frank, une histoire d’aujourd’hui, lui aussi multidisciplinaire. Toutes les élèves ont été appelées à participer, d’une façon ou d’une d’autre, que ce soit par des oeuvres musicales ou des oeuvres dont des masques, des cadres ou des chaises, et même des poèmes. Cette exposition, ouverte au public d’avril à mai, a attiré pas moins de 1 600 visiteurs, tantôt des groupes scolaires venus d’aussi loin que Trois-Rivières, tantôt le grand public. Un local de l’école avait même servi à reproduire la chambre d’Anne Frank.Les deux établissements scolaires de Saint-Hyacinthe auront donc la chance de mettre la main sur l’un des neuf prix nationaux, avec des bourses allant jusqu’à 10 000 $. La cérémonie aura lieu le 2 février du côté de Trois-Rivières.

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