19 mai 2011 - 00:00
La Surivance : une bonne année malgré tout
Par: Martin Bourassa
L'assemblée annuelle a été l'occasion de rendre hommage à un administrateur qui se retire après avoir siégé au conseil de La Survivance pendant 14 ans, dont plus de sept ans en tant que vice-président. On a ainsi souligné la contribution d'André H. Gagnon. Il pose en compagnie de Jacques Desmeules, président du conseil, et de Richard Gagnon, président et chef de la direction.

L'assemblée annuelle a été l'occasion de rendre hommage à un administrateur qui se retire après avoir siégé au conseil de La Survivance pendant 14 ans, dont plus de sept ans en tant que vice-président. On a ainsi souligné la contribution d'André H. Gagnon. Il pose en compagnie de Jacques Desmeules, président du conseil, et de Richard Gagnon, président et chef de la direction.

L'assemblée annuelle a été l'occasion de rendre hommage à un administrateur qui se retire après avoir siégé au conseil de La Survivance pendant 14 ans, dont plus de sept ans en tant que vice-président. On a ainsi souligné la contribution d'André H. Gagnon. Il pose en compagnie de Jacques Desmeules, président du conseil, et de Richard Gagnon, président et chef de la direction.

L'assemblée annuelle a été l'occasion de rendre hommage à un administrateur qui se retire après avoir siégé au conseil de La Survivance pendant 14 ans, dont plus de sept ans en tant que vice-président. On a ainsi souligné la contribution d'André H. Gagnon. Il pose en compagnie de Jacques Desmeules, président du conseil, et de Richard Gagnon, président et chef de la direction.

La Survivance, compagnie mutuelle d'assurance vie dont le siège social est à Saint-Hyacinthe, a connu une année 2010 satisfaisante, si l'on se fie aux résultats rendus publics lors de l'assemblée générale annuelle le 6 avril.

La mutuelle a généré un bénéfice avant impôts et participations aux titulaires de polices de 5,2 millions de dollars (M$) l’an dernier, dégageant un bénéfice net de 3,4 M$. C’est un bénéfice supérieur à la cible fixée en début d’année, mais tout de même inférieur au bénéfice net de 2009 qui était de 4,4 M$.

À cet effet, Richard Gagnon, président et chef de la direction de La Survivance, précise que la mutuelle d’assurances avait pu profiter en 2009 d’une décision gouvernementale sur le traitement de réserves fiscales pour lesquelles les administrateurs avaient pris des provisions plus élevées que celles finalement requises.Le rendement sur l’avoir des mutualistes a cependant été légèrement inférieur au rendement annuel cible fixé par le conseil d’administration. Il s’est établi à 8,9 %, alors que la cible attendue était de 10 %. Sur le long terme, la performance de rendement affiche meilleure mine avec une moyenne de 12,4 % sur les cinq dernières années.Si on ne tient pas compte de la variation de la valeur marchande des placements servant à apparier les provisions techniques, les revenus bruts de l’entreprise ont été de 89,3 M$, une croissance de 11,1 % sur l’année précédente. Ce sont les primes d’assurance qui ont davantage contribué à cette progression avec une hausse de 12,2 %. Les primes nettes d’assurance et de rentes se sont établies à 61,5 M$ en hausse de 10,5 %. Les revenus de placements ont été de 10,8 M$, soit 4,7 % supérieurs à ceux de 2009. Ainsi, les revenus nets totaux s’élèvent à 83,1 M$, dont 10,8 M$ sont liés à la variation de la valeur marchande des placements.Les dépenses totales de l’entreprise se sont élevées à 77,9 M$ en 2010, incluant une hausse des provisions de 12,1 M$. Les frais d’administration et de vente ont été de 26,6 M$, en hausse de 6,3 % par rapport à l’année 2009. « Celle-ci est conforme à nos prévisions et à notre stratégie visant à soutenir notre croissance tout en exerçant un contrôle rigoureux de nos dépenses », mentionne M. Gagnon.En 2010, La Survivance a retourné à ses assurés plus de 35 M$ en prestations d’assurance et de rentes, soit 10,5 % de plus que l’année dernière.L’actif s’est pour sa part apprécié de 10,2 % pour atteindre 247 M$. Les placements représentent 91 % de l’actif et de ceux-ci, 93,5 % sont investis en obligations ou en marché monétaire. « L’entreprise est fidèle à sa stratégie de gestion prudente des placements, ce qui l’a bien servie, particulièrement pendant les périodes troubles que le marché a connues », a expliqué Richard Gagnon.

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