20 octobre 2016 - 00:00
Rue des Cascades
Un stationnement temporaire, faute de mieux pour l’instant
Par: Benoit Lapierre
Le terrain vacant qui se trouve à l’angle des Cascades et St-Denis, au centre-ville, sera utilisé comme stationnement jusqu’au printemps 2017. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Le terrain vacant qui se trouve à l’angle des Cascades et St-Denis, au centre-ville, sera utilisé comme stationnement jusqu’au printemps 2017. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Le terrain vacant qui se trouve à l’angle des Cascades et St-Denis, au centre-ville, sera utilisé comme stationnement jusqu’au printemps 2017. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Le terrain vacant qui se trouve à l’angle des Cascades et St-Denis, au centre-ville, sera utilisé comme stationnement jusqu’au printemps 2017. Photo François Larivière | Le Courrier ©

Comme aucun projet immobilier ne sera mis en chantier sur ce site au cours des prochains mois, la Ville de Saint-Hyacinthe a décidé d’aménager un stationnement temporaire à même le terrain vacant qui fait face au Marché public, à l’angle de la rue des Cascades et de l’avenue St-Denis.


« Le promoteur croyait pouvoir lancer son projet à l’automne, mais un contretemps l’a obligé à tout reporter au printemps 2017. On a pensé qu’un stationnement à cet endroit serait utile durant la première phase des travaux de réhabilitation du Marché public. On essaie maintenant d’organiser cet espace, qui demeurera en gravier », a indiqué le directeur général de la Ville de Saint-Hyacinthe, Louis Bilodeau.

Avec l’accord du propriétaire, le conseil municipal a donc adopté, le 3 octobre, un projet de règlement concernant la création de ce stationnement temporaire. Il a été présenté en assemblée publique d’information à la séance du conseil de lundi et entrera en vigueur au terme de la procédure d’approbation référendaire, si personne ne s’y oppose dans les zones contigües.

La conseillère municipale du district Cascades, Sylvie Adam, qui siège au comité consultatif d’urbanisme, a indiqué au COURRIER que le promoteur se prépare vraiment à lancer son projet de construction au printemps prochain sur ce terrain qui est maintenant la propriété d’une firme dirigée par Antonio Merulla, de Dorval.

C’est aussi une entreprise de Dorval représentée par Pascal Berthomieu qui pilote le projet immobilier. Le 20 juin 2016, le conseil municipal lui a accordé une « dérogation mineure » pour lui permettre d’ériger à cet endroit un édifice de six étages d’une hauteur totale de 19 mètres, ce qui excède de quatre mètres la hauteur maximale autorisée dans cette zone du centre-ville. L’édifice projeté comporte 51 logements et trois locaux commerciaux au rez-de-chaussée.

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